Dur le changement… dur…

J’ai décidé de me mettre à Aperture. Le Lightroom version Apple (là je vais me faire taper sur la gueule).

C’est sympa à première vue. Très sympa même. J’ai fait mumuse avec tous les « potards » du module de développement… Pardon, de l’onglet « Ajustements ».

Pis en 2 minutes, j’ai réussi à foutre le bordel dans ma photothèque… C’est la magie Apple. C’est efficace, mais quand t’es un gros con… tu fous tout en l’air en deux minutes.

Apple devrait faire un truc au premier lancement de Aperture :

« Bienvenue dans Aperture !

Avant de commencer, merci de choisir l’option qui vous correspond :

1-Je suis un bleu, j’ai ouvert mon nouveau Mac avec Aperture. Tout il est nouveau pour moi

2- J’étais sur iPhoto, je devrais pouvoir m’en sortir avec l’aide

3- Je viens de Lightroom »

Option 1 : Apple vous prend par la main comme ils savent très bien le faire et vous accompagnent pazapa dans Aperture.

Option 2 : Vous êtes un vrai, un pur Pommeux, vous foncez… Et ça marche.

Option 3 : Soutien psychologique, masseuse, et Richard Courcet à la rescousse… Passke là, c’est dur… Très très dur.

Du coup, après avoir foutu le bordel dans ma photothèque – oui parce que j’ai décidé de balancer 2010 sous Aperture pensant que c’était tout con – un collègue m’a dit « Mais pourquoi tu fais pas un dossier Test ? ».

Bah oui, pourquoi ?

Hein ? Pourquoi…

Bon, je réécrirai un truc quand j’aurai fini mon test.